Depuis plusieurs semaines, le monde paysan issu d’une culture millénaire, vient sonner à notre porte. Nous ne pouvons pas l’ignorer. Loin de cet univers besogneux et discret, j’ai depuis mon enfance admiré les personnes qui le compose, leur force de caractère, leur travail souvent acharné et la vie hors des villes. La pression industrielle, économique, citadine puis « écologique » s’est faite de plus en plus forte depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale pour atteindre des sommets de folie aujourd’hui.

De grande puissance agricole, il y a vingt ans, la France a été saignée : nous importons maintenant 20 % de notre nourriture et l’Allemagne, mais aussi les Pays-Bas (16 fois moins de terres agricoles/France !) nous dépassent pour les exportations du fait de l’irresponsabilité de nos dirigeants politiques gauchistes. Sont-ils des vendus, des masochistes ou des carpettes ? Permettant la vente de nos terrains agricoles et forestiers à des puissances étrangères, appliquant les normes souvent plus restrictives que les pays concurrents au sein même de l’Union Européenne, ouvrant grand les portes avec des accords de libre-échange démentiels. Le résultat est là, notre pays n’est plus maître à bord et ses paysans sont au bord du gouffre…

Nous devons reprendre les rênes du pays, supprimer ces accords de libre-échange, stopper la vente de nos terres, sortir de la bourse de Chicago pour les denrées alimentaires produites et vendues en France, redonner la liberté des prix de vente et changer la Politique Agricole Commune (PAC), l’argent public doit servir à l’investissement et non plus à survivre.  

Remplacez maintenant le mot « paysan » par artisan, ouvrier, commerçant… français tout simplement ! Et vous verrez que tout est à reconstruire ! Unissons-nous entre patriotes, souverainistes et conservateurs et relevons les manches afin de bâtir un nouvel et bel avenir à nos enfants.

Reconquête!, la France fière